Langues - Communication - Ressources - Projets - Web 2.0
Balises :
Vues : 3556
Bonjour Zhy et Béa,
Je vous passe la réflexion d' Olivier Ertzscheid, qui a des connexions avec ce sujet:
Succès des foules, société de recommandation et succès d'estime
http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2007/02/succs_des_foule.html
J'ai eu, lors de la journée Urfist sur l'évaluation de l'information, l'occasion de faire monter la salle en température à propos des Folksonomies, de l'engouement qu'elles rencontrent, de la (relative) "sagesse des foules" dont elles rendent compte, et de l'horizon d'une hybridation nécessaire entre elles et les systèmes d'indexation "classiques". La dernière étude du Pew Internet, sobrement intitulée "Tagging", http://www.pewinternet.org/PPF/r/201/report_display.asp
confirme un certain nombre d'éléments quantitatifs sur le phénomène :
•28% des internautes "l'ont fait" un jour ou l'autre
•et 7 % "le font" tous les jours
•les taggueurs ont moins de 40 ans, un niveau d'étude élevé et sont depuis longtemps sur Internet
Le reste des 9 pages du rapport est consacré à une entrevue avec David Weinberger qui après un provocateur titre ("Forget Dewey"), indique que le principal problème des folksonomies est qu'elles peuvent véhiculer une forme de "tyrannie de la majorité". Pour lui, l'avenir est dans la réutilisation sous forme de clusters de ces folksonomies, alliées aux algorithmes des moteurs de recherche. Et la piste la plus prometteuse réside dans l'analyse de la manière dont les différents groupes sociaux utilisent les tags. Il suggère enfin que dans le cadre des réseaux sociaux, de nouveaux algorithmes permettront de donner plus de poids aux tags de nos amis ou de nos connaissances, reprenant ainsi une idée dont il fût l'un des promotteurs, celle d'une société de la "recommandation" et de son corrélat : le succès d'estime.
Use of E-Resources Through Consortia With Special Reference to College Libraries
https://www.igi-global.com/chapter/use-of-e-resources-through-conso...
Online Resources: In general, web pages and documents on the internet that provide useful information. While an online resource is typically data and educational in nature, any support software available online can also be considered a resource.
E-Resources: Electronic resources (or e-resources) are materials in digital format accessible electronically. Examples of e-resources are electronic journals (e-journal), electronic books (e-book) online databases in varied digital formats, Adobe Acrobat documents (.pdf), web pages.
-----
J. McRee (2000) Classification of Internet Resources
http://www.slc.bc.ca/mac/net.htm
An automatic classification system of online E-learning resources
https://ieeexplore.ieee.org/document/6257169/references#references
Krajcso, Z. U. Frimmel Retrieving Online Language Learning
Resources: Classification and Quality https://files.eric.ed.gov/fulltext/EJ1124611.pdf
Ajeng Hidayatul M. et al 2017 Classification of Internet Language Learning Resources Based on Bloom’s Taxonomy and the
Four Language Skills https://download.atlantis-press.com/article/25889018.pdf
classification electronic resource
classification of learning resources in virtual environments?
"Internet et information", le débat proposé par Laurent Gerra :
Dominique Wolton, chercheur au CNRS, et Emery Doligé, blogueur sur RTL.fr
Liens complémentaires:
Critique et Utopie - Internet et Education
http://www3.unileon.es/dp/dfm/flenet/thcritique.html
D. Wolton, internet et après?
http://www3.unileon.es/dp/dfm/flenet/thcritique.html#Wolton
Emery Doligé http://twitter.com/MryEmery Blog Choses vues http://mry.blogs.com/
-----------------------
Bibliographie sur l'évaluation de site Web, l'information sur Internet... http://australie.uco.fr/info/biblio-info/menu1/menu1_2/bus_biblio_m...
Sommaire :
1. L'information sur internet
1.1 Généralités
1.2 Annuaires et moteurs de recherche
1.3 Référencement
2. Internet et documentation
2.1 Le rôle des professionnels de l'information
2.2 Internet en bibliothèques : enquêtes et pratiques
2.3 Indexation humaine et automatique
2.4 Conception d'un site web documentaire
3. Évaluation de sites web
3.1 Grilles d'évaluation
3.1.1 Grilles directement utilisables
3.1.2 Listes de critères d'évaluation
3.1.3. Rapports, synthèses, réflexions, divers
3.1.4 Grilles d'évaluation de sites : exemples d'application en bibliothè...
3.1.5 Bibliographies et répertoires de liens
3.2 Évaluation automatique
3.3 Ergonomie
Divers
* BRETON, Philippe. Le Culte de l'Internet :. Une menace pour le lien social ?. Paris : La Découverte, 2000. 125 p. (Sur le vif). ISBN 2-7071-3302-7.
Un essai philosophique (un peu difficile d'accès parfois) par un des meilleurs spécialistes français de la communication : l'auteur décrypte à sa manière les discours des partisans du "tout-internet" ...
On peut retrouver une critique assez "vive" de cet ouvrage par Jean-Claude Guédon dans La Recherche, N° 339, février 2001, p.112
* WOLTON, Dominiquer. Internet, et après ? Une théorie critique des nouveaux médias. Paris : Flammarion, 2000. 240 p. ISBN 2-08-081459-1. (Champs).
Une approche culturelle et critique de la "révolution Internet". L'auteur y fait une comparaison avec les médias classiques (en particulier la télévision) et relativise les discours sur cette pseudo-révolution de la communication.
* WOLTON, Dominique avec JAY, Olivier. Internet : petit manuel de survie. Paris : Flammarion, 2000. 186 p. ISBN 2-08-211583-6.
Le titre n'est pas du tout révélateur : il ne s'agit pas d'un guide pratique d'internet mais bien d'un échange nourri entre un "pro-internet" (O. Jay) et l'une des rares voix (D. Wolton) à s'élever contre le mirage de la fameuse société de l'information...
Nicholas Carr : “Est-ce que Google nous rend idiot ?” InternetActu.net http://www.internetactu.net/2009/01/23/nicolas-carr-est-ce-que-goog...
Extraits:
Moi aussi, je le sens. Ces dernières années, j’ai eu la désagréable impression que quelqu’un, ou quelque chose, bricolait mon cerveau, en reconnectait les circuits neuronaux, reprogrammait ma mémoire. Mon esprit ne disparaît pas, je n’irai pas jusque là, mais il est en train de changer. Je ne pense plus de la même façon qu’avant. C’est quand je lis que ça devient le plus flagrant. Auparavant, me plonger dans un livre ou dans un long article ne me posait aucun problème. Mon esprit était happé par la narration ou par la construction de l’argumentation, et je passais des heures à me laisser porter par de longs morceaux de prose. Ce n’est plus que rarement le cas. Désormais, ma concentration commence à s’effilocher au bout de deux ou trois pages. Je m’agite, je perds le fil, je cherche autre chose à faire. J’ai l’impression d’être toujours en train de forcer mon cerveau rétif à revenir au texte. La lecture profonde, qui était auparavant naturelle, est devenue une lutte.
Je crois savoir ce qui se passe. Cela fait maintenant plus de dix ans que je passe énormément de temps sur la toile, à faire des recherches, à surfer et même parfois à apporter ma pierre aux immenses bases de données d’Internet. En tant qu’écrivain, j’ai reçu le Web comme une bénédiction. Les recherches, autrefois synonymes de journées entières au milieu des livres et magazines des bibliothèques, s’effectuent désormais en un instant. Quelques recherches sur Google, quelques clics de lien en lien et j’obtiens le fait révélateur ou la citation piquante que j’espérais. Même lorsque je ne travaille pas, il y a de grandes chances que je sois en pleine exploration du dédale rempli d’informations qu’est le Web ou en train de lire ou d’écrire des e-mails, de parcourir les titres de l’actualité et les derniers billets de mes blogs favoris, de regarder des vidéos et d’écouter des podcasts ou simplement de vagabonder d’un lien à un autre, puis à un autre encore. (À la différence des notes de bas de page, auxquelles on les apparente parfois, les liens hypertextes ne se contentent pas de faire référence à d’autres ouvrages ; ils vous attirent inexorablement vers ces nouveaux contenus.)
Pour moi, comme pour d’autres, le Net est devenu un media universel, le tuyau d’où provient la plupart des informations qui passent par mes yeux et mes oreilles. Les avantages sont nombreux d’avoir un accès immédiat à un magasin d’information d’une telle richesse, et ces avantages ont été largement décrits et applaudis comme il se doit. “Le souvenir parfait de la mémoire du silicium”, a écrit Clive Thompson de Wired, “peut être une fantastique aubaine pour la réflexion.” Mais cette aubaine a un prix. Comme le théoricien des média Marshall McLuhan le faisait remarquer dans les années 60, les média ne sont pas uniquement un canal passif d’information. Ils fournissent les bases de la réflexion, mais ils modèlent également le processus de la pensée. Et il semble que le Net érode ma capacité de concentration et de réflexion. Mon esprit attend désormais les informations de la façon dont le Net les distribue : comme un flux de particules s’écoulant rapidement. Auparavant, j’étais un plongeur dans une mer de mots. Désormais, je fends la surface comme un pilote de jet-ski.
Je ne suis pas le seul. Lorsque j’évoque mes problèmes de lecture avec des amis et des connaissances, amateurs de littérature pour la plupart, ils me disent vivre la même expérience. Plus ils utilisent le Web, plus ils doivent se battre pour rester concentrés sur de longues pages d’écriture. Certains des bloggeurs que je lis ont également commencé à mentionner ce phénomène. Scott Karp, qui tient un blog sur les média en ligne, a récemment confessé qu’il avait complètement arrêté de lire des livres. “J’étais spécialisé en littérature à l’université et je passais mon temps à lire des livres”, écrit-il. “Que s’est-il passé ?” Il essaie de deviner la réponse : “Peut-être que je ne lis plus que sur Internet, non pas parce que ma façon de lire a changé (c’est à dire parce que je rechercherais la facilité), mais plutôt parce que ma façon de PENSER a changé ?”
Bruce Friedman, qui bloggue régulièrement sur l’utilisation des ordinateurs en médecine, décrit également la façon dont Internet a transformé ses habitudes intellectuelles. “J’ai désormais perdu presque totalement la capacité de lire et d’absorber un long article, qu’il soit sur le Web ou imprimé”, écrivait-il plus tôt cette année. Friedman, un pathologiste qui a longtemps été professeur l’école à de médecine du Michigan, a développé son commentaire lors d’une conversation téléphonique avec moi. Ses pensées, dit-il, ont acquis un style “staccato”, à l’image de la façon dont il scanne rapidement de petits passages de texte provenant de multiples sources en ligne. “Je ne peux plus lire Guerre et Paix“, admet-il. “J’ai perdu la capacité de le faire. Même un billet de blog de plus de trois ou quatre paragraphes est trop long pour que je l’absorbe. Je l’effleure à peine.”
Les anecdotes par elles-mêmes ne prouvent pas grand chose. Et nous attendons encore des expériences neurologiques et psychologiques sur le long terme, qui nous fourniraient une image définitive sur la façon dont Internet affecte nos capacités cognitives. Mais une étude publiée récemment (.pdf) sur les habitudes de recherches en ligne, conduite par des spécialistes de l’université de Londres, suggère que nous assistons peut-être à de profonds changements de notre façon de lire et de penser. Dans le cadre de ce programme de recherche de cinq ans, ils ont examiné des traces informatiques renseignant sur le comportement des visiteurs de deux sites populaires de recherche, l’un exploité par la bibliothèque britannique et l’autre par un consortium éducatif anglais, qui fournissent un accès à des articles de journaux, des livres électroniques et d’autres sources d’informations écrites. Ils ont découvert que les personnes utilisant ces sites présentaient “une forme d’activité d’écrémage”, sautant d’une source à une autre et revenant rarement à une source qu’ils avaient déjà visitée. En règle générale, ils ne lisent pas plus d’une ou deux pages d’un article ou d’un livre avant de “bondir” vers un autre site. Parfois, ils sauvegardent un article long, mais il n’y a aucune preuve qu’ils y reviendront jamais et le liront réellement. Les auteurs de l’étude rapportent ceci :
“Il est évident que les utilisateurs ne lisent pas en ligne dans le sens traditionnel. En effet, des signes montrent que de nouvelles formes de “lecture” apparaissent lorsque les utilisateurs “super-naviguent” horizontalement de par les titres, les contenus des pages et les résumés pour parvenir à des résultats rapides. Il semblerait presque qu’ils vont en ligne pour éviter de lire de manière traditionnelle.”
Lorsque nous utilisons ce que le sociologue Daniel Bell appelle nos “technologies intellectuelles”, les outils qui étendent nos capacités mentales plutôt que physiques, nous empruntons inéluctablement les qualités de ces technologies. L’horloge mécanique, qui est devenu d’utilisation fréquente au 14e siècle, fournit un exemple frappant. Dans Technique et Civilisation, l’historien et critique culturel Lewis Mumford décrit comment l’horloge “a dissocié le temps des évènements humains et a contribué à créer la croyance en un monde indépendant constitué de séquences mathématiquement mesurables”. La “structure abstraite du découpage du temps” est devenue “le point de référence à la fois pour l’action et les pensées”.
Le siège de Google, à Mountain View, en Californie, le Googleplex, est la Haute Église d’Internet, et la religion pratiquée en ses murs est le taylorisme. Google, selon son directeur-général Eric Schmidt, est “une entreprise fondée autour de la science de la mesure” et il s’efforce de “tout systématiser” dans son fonctionnement. En s’appuyant sur les téra-octets de données comportementales qu’il collecte à travers son moteur de recherche et ses autres sites, il réalise des milliers d’expériences chaque jour, selon le Harvard Business Review, et il utilise les résultats pour peaufiner les algorithmes qui contrôlent de plus en plus la façon dont les gens trouvent l’information et en extraient le sens. Ce que Taylor a fait pour le travail manuel, Google le fait pour le travail de l’esprit.
Google a déclaré que sa mission était “d’organiser les informations du monde et de les rendre universellement accessibles et utiles”. Cette société essaie de développer “le moteur de recherche parfait”, qu’elle définit comme un outil qui “comprendrait exactement ce que vous voulez dire et vous donnerait en retour exactement ce que vous désirez”. Selon la vision de Google, l’information est un produit comme un autre, une ressource utilitaire qui peut être exploitée et traitée avec une efficacité industrielle. Plus le nombre de morceaux d’information auxquels nous pouvons “accéder” est important, plus rapidement nous pouvons en extraire l’essence, et plus nous sommes productifs en tant que penseurs.
Où cela s’arrêtera-t-il ? Sergey Brin et Larry Page, les brillants jeunes gens qui ont fondé Google pendant leur doctorat en informatique à Stanford, parlent fréquemment de leur désir de transformer leur moteur de recherche en une intelligence artificielle, une machine comme HAL, qui pourrait être connectée directement à nos cerveaux. “Le moteur de recherche ultime est quelque chose d’aussi intelligent que les êtres humains, voire davantage”, a déclaré Page lors d’une conférence il y a quelques années. “Pour nous, travailler sur les recherches est un moyen de travailler sur l’intelligence artificielle.” Dans un entretien de 2004 pour Newsweek, Brin affirmait : “Il est certain que si vous aviez toutes les informations du monde directement fixées à votre cerveau ou une intelligence artificielle qui serait plus intelligente que votre cerveau, vous vous en porteriez mieux.” L’année dernière, Page a dit lors d’une convention de scientifiques que Google “essayait vraiment de construire une intelligence artificielle et de le faire à grande échelle.”
Bonjour
J'ai retrouvé
Question de bon sens : 3 vidéos de bonnes pratiques sur la recherche et l’utilisation de l’information
Au début de l’année 2011, les bibliothèques du réseau de l’Université du Québec ont lancé Question de bon sens : un ensemble de 3 capsules vidéo pour faire connaître les bonnes pratiques dans la recherche et l’utilisation de l’information.
Ces courtes vidéos (moins de 3 minutes chacune) sont destinées à un public cible étudiants mais elles sont également adaptées à des publics usagers des EPN (espaces publics numériques) comme les adolescents.
Détail de ces modules :
Question de bon sens!
Google a réponse à tout? « On trouve sur Google beaucoup d’informations de qualité variable, mais comment s’assurer d’avoir toutes les informations nécessaires pour un travail universitaire? » Cette vidéo comprend en annexe un quiz en ligne pour tester ses connaissances et un point d’information « en savoir plus ».
Si c’est écrit, c’est vrai? « Avec toutes les informations qui coulent sur le web, il importe de se demander si ces dernières sont pertinentes pour un travail universitaire. Pour y arriver, il faut se poser les bonnes questions. »
Wikipédia pourquoi? « Mieux connaître Wikipédia pour savoir quand et comment utiliser l’information trouvée dans cette encyclopédie libre. »
http://www.netpublic.fr/2011/03/question-de-bon-sens-3-videos-de-bo...
Je vous laisse ici . J'ai trouvé intéressant.
À bientôt
Mª José
« Médias numériques : où est l’info ? qui fait l’info ?
URL http://www.intertice.fr/Colloque-Medias-numeriques-ou-est
Évaluation de l’information et didactique du journalisme
Présentation-conférence — Le but de la présentation sera de montrer les rapprochements entre information-documentation, éducation aux médias et journalisme. Les mutations du numérique nous amènent à reposer la question d’une formation au journalisme au sein des cursus. Ce rapprochement permet de mieux appréhender l’évaluation de l’information au sein de projets plus longs et plus ambitieux qui permettent aux élèves de devenir également diffuseurs d’information et de mieux comparer les différentes sources.
Jérôme Bondu (2009)
PANORAMA D’OUTILS DE RECHERCHE D’INFORMATIONS GRATUITS ET EN LIGNE
http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/1/69/75/75/Inter-Ligere_outils-re...
Table des matières
1. Vous voulez rechercher des informations...................................................................................9
Rechercher des informations sur des sites ...................................................................................9
Rechercher des informations spécifiquement dans les blogs, groupes et forums .......................15
Rechercher des personnes.........................................................................................................18
Rechercher des informations via les outils sociaux.................................................................20
Rechercher des informations dans la presse .......................................................................22
2. Vous voulez recevoir automatiquement des informations .......................................................26
3. Vous voulez analyser les informations collectées .....................................................................29
Mesurer la notoriété de sites ou de personnes ..........................................................................29
Mesurer le nombre de sites liés à une page...............................................................................31
Vérifier la source ....................................................................................................................
Evaluer l’information sur un site Web
Source: M.F. Nys IA-IPR EVS
FICHE ELEVE
Consigne 1 : remplis le tableau ci-dessous.
Consigne 2 : A chaque ligne de ce tableau, mets une croix pour le site qui te semble le meilleur. Que peut-on en déduire ?
|
SITE
|
||||
1. Les outils d’accès à l’information |
|
|
|
|
|
A-t-on une page d’accueil ? |
|
|
|
|
|
A-t-on des outils de recherche dans le site ? - sommaire - index - moteur interne de recherche - plan du site |
|
|
|
|
|
2. Les sources de l’information |
|
|
|
|
|
Qui est l’auteur du site ? Quel est son statut ? |
|
|
|
|
|
Peut-on joindre les auteurs par courrier électronique ? |
|
|
|
|
|
Dans quel pays est édité ce site? |
|
|
|
|
|
A-t-on une date de mise en ligne / de mise à jour ? |
|
|
|
|
|
D’après l’adresse, est-ce un site informatif, commercial ou personnel ? |
|
|
|
|
|
3. L’organisation du site : |
|
|
|
|
|
La charte graphique du site (= présentation) est-elle agréable : police d’écriture lisible, couleurs harmonieuses… |
|
|
|
|
|
Les liens à l’intérieur du site fonctionnent-ils ? |
|
|
|
|
|
Les liens à l’intérieur du site donnent-ils accès à des informations intéressantes ? |
|
|
|
|
|
4. Le contenu du site |
|
|
|
|
|
A-t-on des éléments pour approfondir le sujet : - lexique, - bibliographies, - liens vers d’autres sites … |
|
|
|
|
|
L’information est-elle structurée (titres, sous-titres, introduction…) |
|
|
|
|
|
A-t-on des propositions commerciales ? |
|
|
|
|
|
Le site apporte-t-il des connaissances qui répondent aux questions posées ? |
|
|
|
|
FICHE PROF
1. Des outils d’accès à l’information indispensables |
ü Une page d’accueil ü Des outils de recherche : sommaire, index, plan du site. |
2. Des sources d’information mentionnées |
ü L’auteur du site, son statut ü L’adresse électronique de l’auteur ü Le pays d’édition du site ü Une date de mise en ligne ou de mise à jour ü Le caractère informatif, commercial ou personnel précisé dans l’adresse URL |
3. Une organisation efficace : |
ü Une charte graphique qui met en valeur l’information ü Des liens à l’intérieur du site actifs ü Des liens à l’intérieur du site qui donnent accès à des informations intéressantes |
4. Un contenu pertinent et structuré |
ü Des connaissances sur le sujet recherché ü Des informations structurées (titres, sous-titres, introduction…) ü Des outils pour comprendre et approfondir le sujet : lexique, bibliographies, liens vers d’autres sites. ü Pas de proposition commerciale |
Source: Fiche Prof http://pedagogie.ac-limoges.fr/doc/spip.php?article871
Google nous rend-il (fr)agiles? - Cyberlibris Blog
http://cyberlibris.typepad.com/blog/2011/08/google-nous-rend-il-fra...
Extraits:
Qu'est-ce-qui est le plus important?: Se souvenir de l'information ou bien se rappeler de l'endroit où on peut la trouver (c'est-à-dire de l'endroit où on l'avait trouvée antérieurement)?
Et d'ailleurs, le fait que l'on sache où la trouver implique-t-il que l'on n'éprouve pas (plus) le besoin de la mémoriser?
Ce sont évidemment des questions qui (dans la lignée du fameux article de Nicholas Carr) prennent un relief particulier dans un monde connecté dans lequel l'information est à un clic de souris. Ce sont des questions que des chercheurs de Columbia University, de University of Wisconsin-Madison et Harvard University résument dans le titre d'un article récent: Google Effects on Memory: Cognitive Consequences of Having Informat....
(...)
Google (employé ici comme métaphore) donne à nos cerveaux une agileté informationnelle remarquable. Mais ne soyons ni dupes ni candides. Cette agileté a un coût dont nous n'avons pas encore pris la juste mesure tant l'emphase est mise sur cette information toujours juste-à-temps. Tout système optimisé est certes performant (par définition de l'optimisation) mais il est aussi fragile, agile et fragile.
Alors que vaut-il mieux des cerveaux robustes ou des cerveaux (fr)agiles?
Internet est pour moi un outil formidable et j'y suis complètement "accroc" mais s'il est un moyen d'accéder à la liberté de parole et à la liberté d'information, il faut se méfier du revers de la médaille.
On peut voir sur la toile et les réseaux sociaux des fausses nouvelles qui font le tour de l'Hexagone en quelques minutes et, dans le meilleur des cas, prendre pour des idiots ceux qui les ont relayées, mais parfois briser la vie de ceux qui en sont victimes.
Alors, avant de relayer une information, vérifiez-la plusieurs fois. Ce site vous permettra peut-être de vous aider : http://www.hoaxbuster.com/ à débusquer les "fake".
Bienvenue dans
Campus FLE Education
© 2021 Créé par Campus FLE.
Sponsorisé par